Description
Nous sommes très heureux de collaborer avec le duo d’artistes Atelier McClane.
« Détruire ce qui nous détruit » est une phrase empruntée à Françoise d’Eaubonne, en particulier à son livre « Contre-violence ou la Résistance à l’Etat », ouvrage qui rassemble plusieurs textes sur les rapports entre féminisme et violence politique.
« Détruire ce qui nous détruit » est une phrase empruntée à Françoise d’Eaubonne, en particulier à son livre « Contre-violence ou la Résistance à l’Etat », ouvrage qui rassemble plusieurs textes sur les rapports entre féminisme et violence politique.
- Écharpe à franges tricotée avec amour en Union Européenne
- Édition limitée de 60 exemplaires, numérotée et jamais rééditée.
- 2 couleurs de fils : noir et blanc
- Dimensions : 17 x 165 cm
- 100% acrylique doux
- Entretien : lavage à la main conseillé ou à 30° en programme délicat. Séchage à l’air libre. Repassage à basse température si besoin.
McClane est un duo d’artistes basé en Bretagne, composé de Julia Crinon et Hugo Marchal.
Ils ont commencé à travailler ensemble début 2013, motivé.es par leurs influences communes et leur pratique du dessin. La sérigraphie et l’auto-édition ont été un moyen de gagner en autonomie, de diffuser leur travail par eux-même et d’évoluer dans des scènes alternatives imprégnées d’une forte éthique. Aujourd’hui, si l’auto-édition et la sérigraphie restent centrales dans leur travail, ils se sont ouverts à d’autre pratiques (installations, peintures murales, photographie…) et toutes se chevauchent et se rencontrent continuellement.Leurs thèmes de réflexion tournent autour de la place du politique dans le quotidien. Ils tentent de comprendre la manière dont les systèmes de dominations pèsent sur l’individu sensible et son environnement. Avec la radicalité du noir et blanc et la figuration, ils composent des images symboliques, à différents niveaux de lecture et laissant toujours place à une possible narration.
Sans réponses ni mode d’emploi, ils projètent leur vision, leurs questionnements et leurs prises de position au travers de leurs images.
Ils ont commencé à travailler ensemble début 2013, motivé.es par leurs influences communes et leur pratique du dessin. La sérigraphie et l’auto-édition ont été un moyen de gagner en autonomie, de diffuser leur travail par eux-même et d’évoluer dans des scènes alternatives imprégnées d’une forte éthique. Aujourd’hui, si l’auto-édition et la sérigraphie restent centrales dans leur travail, ils se sont ouverts à d’autre pratiques (installations, peintures murales, photographie…) et toutes se chevauchent et se rencontrent continuellement.Leurs thèmes de réflexion tournent autour de la place du politique dans le quotidien. Ils tentent de comprendre la manière dont les systèmes de dominations pèsent sur l’individu sensible et son environnement. Avec la radicalité du noir et blanc et la figuration, ils composent des images symboliques, à différents niveaux de lecture et laissant toujours place à une possible narration.
Sans réponses ni mode d’emploi, ils projètent leur vision, leurs questionnements et leurs prises de position au travers de leurs images.